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Amie

A mi-clos, les yeux de ton regard sur moi
Qui, d’une moitié ouverte regarde et me voit.
A mi-vie cheminent nos deux existences,
L’enfer du manque demeure d’importance.

Amie qui vit de nos impatiences,
D’attentes, de baisers et d’urgences.
A mi-temps, tout le temps,
A mi-chiant, trop souvent.

A ma mie, comme on dirait « la moitié »,
A toi seule l’amie que j’aime à en crever.
Il aura fallu ce soir un autre plein de baisers,
A mi-lèvres, de nos bouches, un brasier.

Amie soit
A mi-toi,
Ah misère !
Ah mystère !
A mi-nous,
A ce tout.

LORAN

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Ce n’est pas un « au revoir » qui tuera nos bonjours.